Tino Rossi – les Revues à grand spectacle
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1934 – Parade de France – (Casino de Paris – du 26 septembre 1934 au 23 septembre 1935)
Affiche originelle de la revue du Casino de Paris – Parade de France.
- En vedettes : Georgius, Jacqueline Claude et, un peu plus tard, Tino Rossi.
Lithographie Bedos – d’après X – 1934 – Coll. C. R-V.
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- « Revue des beautés de notre pays et de nos colonies » en deux actes et cinquante tableaux, 65 décors et 250 artistes, de Henri Varna, Léo Lelièvre et Marc-Cab. Tino Rossi figure dans les tableaux « Corse île de beauté » et « La plus grande France » (renommée en 1935 « L’Afrique »). Première représentation le 26 septembre 1934. Les deux grandes vedettes de la revue sont alors Georgius et Jacqueline Claude. Première représentation avec Tino Rossi en tant que vedette le 14 octobre 1934. Triomphe ce soir-là : Tino conquiert son statut de vedette en un soir par une apparition d’une durée totale de 29 minutes. Jouée jusqu’au 23 septembre 1935 avec les acteurs principaux, dont Tino Rossi.
- Tino Rossi est engagé par Henri Varna le 30 juillet 1934, pour quelques apparitions.
- Tino Rossi est promu « en catastrophe » par Henri Varna, sur les conseils confidentiels de Vincent Scotto qui l’avait croisé à Lyon quelque 2 ans auparavant : Henri Varna doit réorganiser en urgence toute la revue en raison de la nécessité de remplacer au pied levé la vedette Georgius (qui se retrouvera dans un rôle subalterne). En effet, Georgius, dans le spectacle, y interprétait la chanson « Imprudentes », une violente charge contre les homosexuels, si bien que de représentation en représentation, le public parisien du cabaret, constitué pour une part non négligeable d’homosexuels, dont Jean Cocteau était un peu « le meneur », huait de plus en plus lors de chaque apparition du chanteur et perturbait durablement le spectacle… La mort dans l’âme, Varna dût se résoudre à restructurer la revue et à trouver un nouveau chanteur… Et si possible avec du talent…
- Une fois Tino Rossi engagé, Henri Varna lui demanda de se trouver des chansons pour aller avec la revue. Et c’est tout naturellement que Tino Rossi repensa à Vincent Scotto qu’il avait croisé à Lyon quelque 2 ans auparavant, et alla le voir. (sans savoir que Scotto aida Tino à se faire engager au Casino de Paris !)
- Vincent Scotto demanda à Tino de lui laisser ses disques pour les écouter et lui demanda de repasser le voir quelques jours plus tard… Et quelques jours plus tard, Scotto lui proposa les deux succès que l’on connaît : Vieni… Vieni… ainsi qu’une seconde chanson qu’il composa en quelques minutes devant Tino Rossi : Ô Corse, île d’amour !
Ci-contre: Jacqueline Claude qui, avec Georgius, incarnent au départ les deux grandes vedettes de la revue Parade de France… Avant d’être tous les deux éclipsés par la révélation Tino Rossi de l’année 1934.
Photoglyptie Studios Henry – 1934 – Coll. C. R-V.
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- Parmi les chansons interprétées par Tino, l’on note :
- Ô Corse, île d’amour
- Vieni… vieni…
- Vivons la vie, vivons l’amour
- Un baiser de femme sous un ciel de feu
- C’est ton amour
Ci-dessus : Tino Rossi dans le Tableau Corse de la revue Parade de France, au Casino de Paris.
Photographie Simson – Octobre 1934 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : extrait du programme standard de la revue Parade de France saison 1934-35 avec Tino Rossi.
- nota 1 : il existe une 1ère édition 1933-34, avec mise en page différente.
- nota 2 : il existe une 3ème édition 1934-35 sans Tino Rossi, mais avec Henri Giannini qui semble le remplacer en toute fin de revue.
Programme 1934-35 – Coll. C. R-V.
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- Retrouvez ici le Programme de la Revue Parade de France au Casino de Paris – saison 1934/35 – (version luxe grand format, avec rabat intégré pour y insérer ses billets).
Ci-dessus : couverture et extrait du programme (version luxe 1934-35) de Parade de France, où Tino Rossi joue dans 2 tableaux. (coll. C. R-V.)
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- Ci-contre : 78 Tours de Georgius « Imprudentes » enregistré le 25 février 1933 chez Odéon.
- Imprudence de Georgius qui, indirectement, donnera l’opportunité à Tino de triompher dans Parade de France le 14 octobre 1934. (coll. C. R-V.)
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1936 – Tout Paris chante – (Casino de Paris – du 30 septembre 1936 au 8 février 1937)
Affiche originelle de la revue du Casino de Paris – Tout Paris Chante.
- En vedette : Tino Rossi.
Lithographie Bedos – d’après Van Caulaert – 1936 – Coll. C. R-V.
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- Revue en deux actes et trente-six tableaux, modifiée en trente-quatre tableaux, de Henri Varna, Léo Lelièvre, Marc Cab & Charles Tutelier. Tino Rossi participe en tant que vedette principale aux tableaux « Les chansons d’amour », « Ceux de la légion » et « Roi de cœur ». Première représentation le 30 septembre 1936. Jouée jusques au 8 février 1937.
- Parmi les chansons interprétées par Tino, l’on note :
- Au delà des nuages
- Plaisir d’amour
- Une étoile d’amour
- Marinella
- Maître Pathelin
- Guitare d’amour
- Colombella
- Le secret de tes caresses
- Rendez-moi mes montagnes
- Un violon dans la nuit
Nota :
- Tino Rossi signe avec Henri Varna son contrat d’engagement le 8 mai 1936 en tant que vedette principale, à l’issue d’un déjeuner servi dans la résidence de M. Varna à Montmorency. MM. Émile Audiffred et Félix Marouani, les impresarii de Tino sont aussi présents.
- La date prévisionnelle retenue est le 25 septembre 1936. Un report de 5 jours sera observé avant la première représentation.
- Le contrat stipule une exclusivité totale durant la saison de représentation. Tino Rossi ne pourra alors pas se produire ailleurs et « doubler » dans un autre cabaret.
- En revanche, Tino Rossi a le droit de continuer à enregistrer de nouveaux disques et de chanter en direct à la radio !
Ci-dessus : Tino Rossi éblouissant dans le 1er rôle de la revue Tout Paris Chante, au Casino de Paris, en 1936.
Photographie (restaurée au mieux) Roger-Viollet – 1936 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi dans le 1er rôle de la revue Tout Paris Chante, au Casino de Paris, en 1936.
Photographie Roger-Viollet – 1936 – Coll. C. R-V.
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1939 – Tino Rossi – (Scala de Berlin – du 1er au 31 mars 1939).
- Tino Rossi se produit à la Scala de Berlin du 1er au 31 mars 1939.
- Concernant l’Allemagne, c’est le succès international du film « Naples au baiser de feu » qui a motivé l’engagement de Tino Rossi à la Scala de Berlin par leurs propriétaires.
- Tino Rossi se produit pendant un mois dans cette salle de 3.000 places, à raison de 3 représentations par jour, sans compter les soirées privés. Il perçoit alors le plus gros cachet de l’histoire de la Scala pour chaque représentation : 3.000 Reichsmarks.
- À peu près inconnu à son arrivée en Allemagne, le succès est pourtant total dès le premier soir, malgré le handicap que représente alors le fait de chanter en langue française, ainsi que le peu d’intérêt manifesté habituellement pour le « genre sérénade » dans ce pays.
- Tino y présente son tour de chant de 9 chansons que sont : Vieni… Vieni… traduite en allemand pour l’occasion et devient Bitte… Bitte… (S’il vous plaît…), le reste du tour de chant étant donc chanté en français dont : La belle conga, Chant d’amour de Tahiti, Sérénade portugaise, Tristesse de Chopin et Bambinella…
- « März 1939 – Gastspiel Tino Rossi in der Scala, Deutschlands Weltvarieté, Berlin W 62, Lutherstrasse 22 – 24. »
- Article paru dans le magazine belge « Le Film » du 23 avril 1939 sur Tino Rossi à la Scala de Berlin.
Ci-dessus : Tino Rossi à l’Eden-Bar de Berlin en la charmante compagnie de la grande actrice d’outre-Rhin – Dorothea Wieck.
Photographie Tobis – début Mars 1939 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi et Dorothea Wieck dans les rues de Berlin.
- Nota : la presse allemande avait monté une sorte de feuilleton journalistique présentant dans ses articles M. Tino Rossi et Mme Wieck systématiquement ensemble – couple totalement artificiel – étant donné que Tino Rossi était en ménage avec Mireille Balin, et éperdument amoureux d’elle…
Photographie UFA – Mars 1939 – Coll. C. R-V.
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Extrait du programme de la Scala de Berlin de Février 1939, annonçant la venue de Tino Rossi le mois suivant (Coll. Alain Brochet).
- Traduction : en mars à la SCALA, la coqueluche de Paris, TINO ROSSI le chanteur de renommée mondiale (films, radio et disques).
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Ci-contre : annonce publicitaire parue dans la presse d’Allemagne en février 1939 traduite.
- SCALA – À partir du 1er mars 1939, en spectacle : TINO ROSSI
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- Eduardo BIANCO, le Roi du Tango, accompagné de son orchestre de tango argentin
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- Vicente ESCUDERO, le plus grand danseur d’Espagne
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- Première : 1er mars à 20H30.
- 2 mars à 20H30 : place au festival !!
- La vente a commencé.
Ci-contre : annonce officielle légale de l’état allemand qui réglemente les tarifs et désigne les points de vente exclusifs (document officiel d’époque traduit)
- Supplément de dernière heure – Mars 1939
- Pour les amis du théâtre berlinois – La Société du livre allemand.
- Tous les jours à 20h30, ainsi que les mercredis, samedis et dimanches à 17h (tarifs réduits)
- Tino Rossi, le ténor mondialement connu, vedette du cinéma, de la radio et du disque est invité en mars à la Scala de Berlin.
- La fusion assez extraordinaire d’une beauté irrésistible et du timbre de cette voix ont rendu ce chanteur, encore très jeune, mondialement célèbre en très peu de temps.
- Tino Rossi a tenu le rôle principal dans cinq grands films français. Ses disques détiennent actuellement le record de vente dans l’Europe entière.
- Le prix des billets varie de 1.00 à 8.00 RM pour les représentations du soir et de 0,70 à 5,00 RM pour les représentations de l’après-midi – disponibles à nos guichets.
- Réservation préalable pour tous les théâtres d’État et pour tous les autres théâtres de Berlin aux guichets de la Société du Livre Allemand.
- Librairie de la Société du livre allemand, Wg, 9 Hermann-Göring-Strasse (Place de Potsdam) / Librairie de la Société du livre allemand, SW 68, 156 57 Alte Jakobstrasse (près de la Hallesches Tor) / Magasin de musique Columbia, 29, Kurfürstendamm / Magasin de musique Schwarz – Friedenau, 60 Rheinstrasse.
- Ouvert en semaine de 9 h à 19 h.
Ci-contre : couverture du programme de la Scala de Berlin avec Tino Rossi en vedette principale de la revue.
Mars 1939 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : annonce Tino Rossi dans le programme de la Scala de Berlin de Mars 1939.
- Traduction : TINO ROSSI chansons françaises, chansons folkloriques corses et italiennes ; schlager et chansons.
(Coll. C. R-V.)
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Ci-dessus : Press-Book – Tino Rossi en Mars 1939, établi par la Scala de Berlin, regroupant tous les articles de la presse allemande traitant de sa triomphale revue.
- Traduction : SCALA – l’étape-variété – 22 rue Luther, Berlin.
Avril 1939 – Coll. C. R-V.
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- Le directeur de la Scala de Berlin – Eduard Duisberg, propose à Tino Rossi de rester un mois de plus dans son cabaret, mais Tino décline l’offre, nonobstant le fait que le public allemand du cabaret soit très chaleureux à son égard.
- Tino explique, en Juin 1982, que cela commençait à sentir politiquement mauvais. En Allemagne à cette époque, tout était très triste dans les rues de Berlin et qu’il y avait des militaires de partout.
- Tino précise qu’il avait eu l’impression de visiter un pays communiste gouverné par un roi (tellement l’ambiance locale était bizarre en 1939 dans ce pays) !
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1982 – Cinquante ans d’amour – (Casino de Paris – du 4 novembre au 2 janvier 1983)
- En 1981 et 1982, Tino Rossi se produit en gala un peu partout en France.
- Il adapte progressivement son tour de chant en renouvelant une partie des chansons, prend un nouveau chef d’orchestre et pianiste pour ses tournées : Claude Rogen, et il fait salle ou stade comble à chaque spectacle, et l’accueil est toujours massif et fervent.
- Le succès étant toujours là, c’est au mois de Mars 1982 que la décision est prise : Tino Rossi, qui n’a plus donné de gala dans Paris depuis le 3 juin 1976, décide de fêter ses 50 ans de carrière au Casino de Paris, 48 ans après y avoir acquis de manière durable son statut de star indéboulonnable de la Chanson Française.
Ci-dessus : premières annonces de presse de Tino Rossi au Casino de Paris.
- En 1982, la revue est donnée comme devant courir jusqu’au 10 janvier 1983.
- Mais la date fut peu après ramenée au 2 janvier 1983. Cause non connue de nous.
D’après photographie Alain Marouani – Octobre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Si finalement les dates définies courent bien du 4 novembre 1982 au 2 janvier 1983, la Production laisse alors ouverte la possibilité de prolongation de la revue, mais il n’en sera finalement pas le cas. Les contrats signés par la Production aux membres de l’orchestre en attestent.
Ci-contre : extrait du contrat d’engagement de M. Claude Rogen, pianiste attitré de Tino Rossi depuis 1978 pour les galas.
Octobre 1982 – Coll. C. R-V.
Ci-dessus : votre serviteur (à gauche), en compagnie de M. Claude Rogen, ultime pianiste de Tino Rossi, en discussion à la bonne franquette dans un bar de Boulogne-Billancourt, évoquant 40 ans plus tard diverses anecdotes avec Tino Rossi.
- Nous sommes tous des passeurs d’histoire, chacun à notre niveau.
Photographies C. R-V. – 14 janvier 2023 – Coll. C. R-V.
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- Environ un mois avant le début de la revue, quelques fervents tinorossistes du Club sont venus en repérage au Casino de Paris. En effet, ils ont profité de leur passage à Paris dans le secteur, le jour de l’enregistrement de l’émission l’École des Fans avec Tino Rossi.
- 1er cliché à gauche : M. André Thibault,
- 2ème cliché à gauche : M. Marcel Peltier,
- et derrière l’objectif : M. Maurice Bazinet.
Ci-dessus : devanture du Casino de Paris annonçant le programme des spectacles à venir.
- Le ballet de l’Opéra de Rome dans Esoterik Satie, du 24 septembre au 24 octobre 1982,
- Tino Rossi dans 50 ans de Chansons – 50 ans d’amour, du 4 novembre 1982 au 9 janvier 1983,
- Alain Bashung, du 15 au 31 janvier 1983,
- Jacques Higelin, du 1er février au 15 avril 1983,
- Eva Miller dans Casino Story, revue à grand spectacle, de Mai à Août 1983.
Photographies Bazinet – 9 octobre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : devanture du Casino de Paris annonçant Tino Rossi en vedette.
Photographie X – Novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Article du Figaro du 4 novembre 1982 rédigé par Raymond Castans qui annonce le retour de Tino Rossi au Casino de Paris le soir même…
- Aux alentours du 20 octobre 1982, les répétitions débutent. Seront nécessaires un total 14 séances organisées pour monter, tester et peaufiner le spectacle.
- À partir du 4 novembre 1982, à 75 ans révolus, Tino Rossi remonte symboliquement sur la scène de ses grands débuts, le Casino de Paris, pour fêter son demi-siècle de carrière au cours d’un grand spectacle, mis en scène par Maritie et Gilbert Carpentier, qui mêle rétrospectives et nouvelles chansons.
- Chaque jour, pendant deux mois, la salle comble de 1450 places redouble d’applaudissements, à raison :
- – d’une représentation en matinée à 15H00 les dimanches, mardis, mercredis et jeudis,
- – d’une représentation en soirée à 21H00 les vendredis et samedis ; relâche les lundis.
- – c’est à dire : 23 représentations pour le mois de novembre 1982, 27 représentations pour le mois de Décembre 1982 et 2 représentations pour le mois de Janvier 1983, soit un total de 52 représentations au Casino de Paris.
- Retrouvez ici le Programme de la Revue Cinquante ans d’amour au Casino de Paris (1ère version distribuée les 2 premières semaines)
- Retrouvez ici le Programme de la Revue Cinquante ans d’amour au Casino de Paris (2ème version distribuée les 6 semaines suivantes – incluant 3 clichés du 9 novembre 1982)
- Tino Rossi est au cœur du spectacle qui se joue, comme à ses débuts, au Casino de Paris, en 1934.
- Sur une idée de Laurent Rossi, qui en assure la direction artistique, voici l’occasion de célébrer ses noces d’or avec le public.
- Le spectacle est produit par MM. Michel Olivier et Jacques Marouani, le fils de Félix – compagnon de route de Tino depuis 1934.
- La mise en scène est de Maritie et Gilbert Carpentier, en deux actes et dix-huit tableaux.
- La chorégraphie est réglée par Barry Collins.
- De nombreux guitaristes corses placés sous la direction d’Antoine Bonelli ainsi que le pianiste Claude Rogen l’accompagnent sous la direction d’orchestre de Paul Piot, son chef d’orchestre studio principal depuis 1964.
Ci-dessus : Antoine Bonelli (costume noir), le guitariste principal de Tino Rossi, entouré de tinorossistes du Club, dans le hall du Casino de Paris le soir de la première de Cinquante ans d’amour.
Photographie X – 4 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Le 4 novembre 1982 est le jour de la première représentation, traditionnellement connue comme celle de tous les dangers…
- Les fidèles du Club Tino Rossi qui le pouvaient sont venus en nombre.
- Maritie et Gilbert éprouvent une grande appréhension, en témoigne la déclaration préalable à l’entrée en scène de Tino Rossi…
- Gilbert Carpentier : « Ce soir est une Première. Vous êtes tous des fans, des amis de Tino Rossi. Il est là, rassurez-vous, il est en train de se préparer. Et quand on fait une première comme ça dans un théâtre comme le Casino de Paris, on est toujours un peu ému parce que l’on est toujours un petit peu en retard. Alors, je ne vous annonce pas une catastrophe, je vous annonce au contraire que vous allez assister à un spectacle presque au point, mais pas forcément tout à fait au point. Vous savez comment cela se passe… »
- « Il y a des lumières qui ne marchent pas, il y a des câbles qui ne descendent pas, mais on a répété tout à l’heure, et tout a marché à peu près bien, mais je vous demanderais un peu d’indulgence, et je pense même que ça peut être assez amusant si l’on s’arrête en cours de route, vous nous en voudrez pas trop, mais vous verrez presque les coulisses d’un spectacle qui va se dérouler pendant 60 jours. Alors la Première, c’est la Formule 1 le jour des essais, alors je vous demande un peu d’indulgence pour tout le personnel qui est là. Vous savez que ma femme et moi, les Carpentier, nous avons fait beaucoup d’émissions de télévision, de Numéro 1, et nous avons toujours des angoisses, mais ici nous sommes beaucoup plus angoissés par ce que c’est beaucoup plus difficile et beaucoup plus délicat de s’adresser à un public comme cela dans la salle, alors je vous demande un peu d’indulgence. »
- « S’il se passe quelque chose, si un décor ne descend pas, ou s’il y a un blanc, je ne vous demanderais pas d’applaudir bien sûr, mais je vous demanderais de comprendre les difficultés que nous avons. Nous avons eu plusieurs problèmes. D’abord, nous avons eu une panne de courant pendant une journée ; nous avons eu le pont de la Toussaint qui nous a beaucoup retardé, mais comme l’on ne voulait pas vous décevoir, on ne pouvait pas annuler, vu que vous venez de tous les coins des environs de Paris et de partout, donc il fallait absolument qu’on le fasse… »
- « Alors, nous sommes absolument ravis de passer devant vous comme ça, et Tino aussi, il fait tout naturellement pour que cela se passe bien, mais, on peut avoir des petits ennuis… Je voulais vous dire aussi, vous m’excuserez : si vous voyez passer une dame qui court avec une lampe de poche et qui vient voir Tino Rossi, ce sera vraisemblablement ma femme, Maritie Carpentier, qui a toujours l’habitude de faire ça, quand c’est une Première, parce qu’elle est à la fois au four et au moulin, et qu’en général, elle arrange bien les choses. Alors tous les techniciens du Casino de Paris se sont donnés du mal pour que ça passe… Je vous demande vraiment de l’indulgence… J’espère que cela va vous amuser. »
- « Je peux vous dire aussi une chose, que cette émission, ce spectacle, je suis un peu déformé par la télévision, ce spectacle va sans doute être enregistré pour la télévision, et vous le reverrez vraisemblablement au mois de décembre, peut-être en deux parties. Alors vous aurez peut-être l’occasion de revenir aussi, en tous cas je vous souhaite une bonne soirée. Je peux voir si Tino n’est pas là… Il veut aussi vous dire un petit salut avant de démarrer… »
- Tino Rossi : « Bonjour ! Eh bien, écoutez, de toute façon, je suis là, on chantera, ne vous en faites pas, tout rentrera dans l’ordre petit à petit… Vous savez, un spectacle comme ça ne se monte pas en soufflant dessus. Mais enfin, on chantera et on jouera de tout cœur pour vous. À tout de suite ! »
Ci-dessus : la revue Cinquante ans d’amour, au Casino de Paris, avec un Tino Rossi particulièrement détendu dès la première représentation.
- clichés 1 & 2 : Tableau Corse.
- clichés 3 & 4 : Tableau Tango.
- cliché 5 : Tableau Cinéma.
- clichés 6 & 7 : Tableau Opérettes.
- clichés 8 à 14 : Tour de Chant.
- clichés 15 & 16 : séance de dédicaces après le spectacle.
Photographies E. Nicolas – 4 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : article qui fait le bilan de la première représentation de la revue Cinquante ans d’amour au Casino de Paris.
Le Parisien Libéré – 5 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Le 9 novembre 1982 est LA journée Tino Rossi sur France Inter, où il est reçu et interviewé plusieurs fois dans la journée.
- Au cours d’une de ces interviews, Tino Rossi explique qu’il a voulu que le spectacle donné au Casino de Paris, se composât d’une première partie sous forme de véritable revue, avec danseurs et ballets, suivie d’une seconde partie sous forme de récital.
- Tino a tenu à cette première partie sous forme de revue pour faire plaisir au public qui le suit depuis si longtemps et pour le remercier ainsi que pour se faire plaisir.
- Tino prenant soin de préciser que s’il s’était contenté en première partie d’un simple récital, il n’aurait pas fait un fauteuil de moins, et qu’il aurait gagné beaucoup plus (car moins de dépenses de personnels), mais qu’il n’en faisait pas une histoire d’argent. C’est cela, le Panache.
- La Générale, le 9 novembre 1982, est l’occasion pour le Tout-Paris au grand complet de fêter un Tino Rossi radieux.
Ci-dessus : billet type, pour la Générale du 9 novembre 1982, où le tout Paris Show-biz est venu voir Tino.
(coll. C. R-V.)
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Ci-dessus : billet, pour la Générale du 9 novembre 1982, où le tout Paris Show-biz est venu voir Tino.
- Ici, un billet exonéré, pour un chanceux qui a pu voir Tino gratuitement !
(coll. C. R-V.)
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Ci-dessus : carton d’invitation à la Générale du 9 novembre 1982 au Casino de Paris avec cotisation de soutien à l’association d’aide aux handicapés que Tino Rossi soutenait.
(coll. C. R-V.)
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- Article de Nice-Matin du 11 novembre 1982 relatant le triomphe de Tino Rossi au Casino de Paris, le soir de la Générale.
- Générale du 9 novembre 1982 : arrivée de Tino Rossi au Casino de Paris en début de soirée.
Ci-dessus : arrivée de Tino Rossi en début de soirée au Casino de Paris.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : derniers réglages orchestraux entre Tino Rossi et Paul Piot, son chef d’orchestre.
Ci-dessus : Tino Rossi et Paul Piot, son chef d’orchestre, pour les derniers réglages orchestraux avant de rejoindre sa loge.
Photographie Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Puis Tino Rossi se rend dans sa loge, pour se changer. Puis, quelque minutes avant le début du spectacle, Tino arrive dans les coulisses. Peu avant de monter sur scène, caché par les lourds rideaux rouges du Casino de Paris, Tino est alors victime d’une épouvantable crise de trac. En effet, la pression est très forte. Trop forte. Il vire tout le monde… Il est pétrifié. Finalement, Claude Rogen, son pianiste attitré depuis 1978, s’entretiendra avec Tino, et après la survenue de cette soudaine crainte injustifiée de « se ramasser », Tino entre en scène, l’orchestre de 22 musiciens démarre et tout entre immédiatement dans l’ordre. Ce sera un succès.
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- Générale du 9 novembre 1982 : début du spectacle à 21h25, retransmis en direct sur France Inter en FM, le tout commenté par José Arthur.
- Tino Rossi entre en scène en smoking noir, souliers noirs, nœud papillon noir et chemise blanche.
- Tino Rossi, après avoir chanté le refrain Ô Corse, île d’amour s’adresse au public en ces termes : « Bonsoir. Il y a quelques années, oh ! C’était Hier ! Je débutais sur cette scène du Casino de Paris, et je chantais, dans un décor corse. Eh bien ce soir, c’est pareil, ou presque… »
- durée 1′50″.
Ci-dessus : début de la Générale – Tino Rossi acclamé par le public VIP, à qui il s’adresse, en rappelant ses débuts au Casino de Paris en 1934…
- Parmi le public de la Générale, nous comptons notamment : Marie Bizet, Roger Borniche, Jean Castel, Jacques Chazot, Karen Cheryl, Dalida, Mme Paul Derval, Régine, Guy des Cars, Line Renaud, Denise Fabre, Joseph Franceschi, Fernand Legros, Francis Lemarque, Francis Lopez, Guy Lux, Mireille Mathieu, Johnny Stark, Jean Marais, Yves Saint-Martin, Yvette Lebon, Annie Cordy, Marie-José Nat, Nicoletta, Alain Decaux…
Photographie Sygma – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : début du 1er tableau – le Tableau Corse.
- Tino Rossi interprète Corsica, La boudeuse, O Ciuciarella, Chanson pour ma brune accompagné par les guitaristes corses dirigés par Antoine Bonelli.
- Tino Rossi enchaîne avec L’enfant qui chantait nouvelle chanson qui résume son enfance, sa vie.
- durée : 15′00″.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 1er tableau, le Tableau Corse, qui ouvre les bras au public.
Photographie Interpress – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 1er tableau, le Tableau Corse.
- Tino accompagné par les guitaristes corses, dont : Antoine Bonelli, François Grimaldi et François Giordani interprète les chansons corses qui ont fait sa gloire.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 1er tableau, le Tableau Corse.
- Tino accompagné par les guitaristes corses, dont : Antoine Bonelli, François Grimaldi et François Giordani interprète les chansons corses qui ont fait sa gloire.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : entr’acte ballet tango réglé par Barry Collins, sur le motif d’Adios pampa mia.
- permet notamment à Tino Rossi de troquer son smoking noir pour son costume blanc.
- durée : 2′50″.
- Générale du 9 novembre 1982 : début du 2ème tableau – le Tableau Tango.
- Tino Rossi interprète les refrains de tangos qui ont fait son succès : Marilou, C’est à Capri, Il pleut sur la route, Guitare d’amour, C’était un musicien, Laissez-moi vous aimer et Tango bleu.
- durée : 6′10″.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 2ème tableau, le Tableau Tango.
Photographie X – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 2ème tableau, le Tableau Tango.
- Tino interprète ses plus grands tangos entouré par les danseurs dirigés par Barry Collins.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 2ème tableau, le Tableau Tango.
- Tino interprète ses plus grands tangos entouré par les danseurs dirigés par Barry Collins.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : début du 3ème tableau – le Tableau Cinéma.
- Tino Rossi, après avoir troqué en 10 secondes sa veste blanche pour sa magnifique veste rouge, pendant la descente d’un écran de cinéma géant, présente une projection d’extraits choisis de 3 de ses films et raconte ses souvenirs de carrière cinématographique, en fredonnant a cappella un refrain pour chaque film sélectionné… (J’aime les femmes, c’est ma folie… Maria… Tarentelle…), décrivant les personnages et les scènes majeures des extraits projetés : Marinella (saluant en direct Yvette Lebon sa partenaire dans le film, présente dans la salle ce soir-ci), Fièvres et Naples au baiser de feu (l’intonation de dépit de Tino en citant seulement le nom de feu Mireille Balin signifie beaucoup sur cette passion enfuie)…
- durée : 12′30″.
Ci-dessus : Tino Rossi, seul, sur la scène du Casino de Paris dans le 3ème tableau, le Tableau Cinéma.
- Les films 35mm de référence avaient été fournis aux époux Carpentier par M. Georges Bruneau, tinorossiste émérite, qui possédait une collection conséquente très-diversifiée sur Tino Rossi.
- Ces films avaient été récupérés par Mme Lilia Rossi en personne, ayant demandé à M. Gilbert Carpentier de les lui livrer à son domicile, à Neuilly-sur-Seine, pour les rendre le 13 novembre 1982 en personne à M. Bruneau.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : entr’acte ballet sur le motif Méditerranée réglé par Barry Collins, avec les danseurs de claquettes.
- permet notamment à Tino Rossi de troquer sa veste rouge pour sa veste bleu roy ; son nœud papillon noir pour une cravate rayée ; ses souliers noirs pour des mocassins blancs et s’armer de sa célèbre casquette de marin.
- durée : 3′10″.
- Générale du 9 novembre 1982 : début du 4ème tableau – le Tableau Opérettes.
- Tino Rossi interprète les refrains de Naples au baiser de feu, Le temps des guitares, Le marchand de soleil et conclut le tableau par la chanson Méditerranée.
- durée : 5′30″.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 4ème tableau, le Tableau Opérettes.
Photographie Interpress – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 4ème tableau, le Tableau Opérettes.
- Dans le feu de l’action, Tino perd sa casquette de marin, et une danseuse la lui rend…
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 4ème tableau, le Tableau Opérettes.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : entr’acte général – 30 minutes.
- Générale du 9 novembre 1982 : début du 5ème tableau – le Tour de Chant.
- Tino Rossi interprète 50 ans d’amour, Le pinzutu, Tout me rappelle vous, La vie commence à 60 ans, Tristesse de Chopin, Ajaccio, J’avais vingt ans, Chantons l’amour et La complainte corse.
- Tino Rossi, accompagné de la chorale de Saint-Eustache interprète Le rêve passe.
- Tino Rossi interprète La paloma.
- Tino Rossi, accompagné de la chorale de Saint-Eustache interprète l’ Ave Maria de Schubert.
- Tino Rossi interprète le traditionnel pot-pourri des chansons de Vincent Scotto : Ô Corse, île d’amour ; Vieni… Vieni… ; Tant qu’il y aura des étoiles ; Chanson pour Nina ; Le plus beau tango du monde et Tchi tchi…
- Tino Rossi conclut le spectacle par Petit papa Noël avec la reprise en chœur générale par le public.
- durée : 56′00″.
- durée totale du spectacle : env. 2H10, entr’actes compris.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 5ème tableau, le Tour de Chant.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 5ème tableau, le Tour de Chant.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : juste après le baisser de rideau, Tino Rossi et Jacques Marouani se saluent, satisfaits de la qualité du spectacle et de l’accueil du public VIP en ce soir de Générale.
Photographie Sygma – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : Tino Rossi donne une courte interview à José Arthur, de France Inter, en fin de gala et remercie tout le public d’être venu ce soir.
- José Arthur : « On se verra au Fouquet’s tout à l’heure, mais je voulais simplement savoir… L’émotion merveilleuse étant donné l’accueil que vous avez reçu, ça doit quand même être bouleversant, pour vous… »
- Tino Rossi : « Oui, c’est bouleversant pour moi, mais j’avais bien préparé mon affaire… Mes cinquante ans de chanson, je voulais les fêter comme je les ai fêtés ce soir. Voilà, je suis ravi, content, et je dis merci à tous ceux qui sont venus ce soir. »
- durée : 0′40″.
- Générale du 9 novembre 1982 : Tino Rossi a rejoint sa loge pour se changer.
Ci-dessus : la loge de Tino Rossi du Casino de Paris reconstituée ultérieurement pour l’exposition Tino Rossi – de l’Île à Lille.
Photographie Bazinet – Novembre 1984 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi de retour dans sa loge, après la fin du spectacle.
Photographie Interpress – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi de retour dans sa loge, après la fin du spectacle.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : Tino Rossi est rejoint dans sa loge par plusieurs VIP venues le féliciter et le remercier pour la qualité de son spectacle.
Ci-dessus : Tino Rossi reçoit les félicitations de personnalités du Tout-Paris à la fin du spectacle, dans sa loge du Casino de Paris.
- clichés 1 à 3 : félicité par Félix Marouani, son impresario historique depuis 1934 (en retraite).
- clichés 4 à 6 : félicité par Marie-José Nat.
- cliché 7 : félicité par Danyel Gérard.
- cliché 8 : félicité par Annie Cordy.
- cliché 9 : félicité par personnalité à identifier.
- clichés 10 et 11 : félicité par Fernand Legros, le marchand d’art (et faussaire !).
- clichés 12 à 15 : félicité par Yvette Lebon et Lilia Rossi.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi dans sa loge du Casino de Paris, recevant les félicitations sincères de Mireille Mathieu à la fin de la générale de la revue Cinquante ans d’amour.
- en arrière plan : Francis Lopez, Youri Manoff et Johnny Stark.
Photographie Laforêt – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi dans sa loge du Casino de Paris, recevant les félicitations de Dalida à la fin de la générale de la revue Cinquante ans d’amour.
- en arrière plan : Lilia qui regarde d’un œil plutôt inquiet Tino embrasser Dalida avec un entrain certain…
Photographie Laforêt – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Générale du 9 novembre 1982 : Tino Rossi, une fois changé, se livre à la traditionnelle séance de dédicace pour son nombreux public de tinorossistes venus en nombre…
Ci-dessus : la boutique-stand dédiée à Tino Rossi dans l’enceinte même du Casino de Paris, où notre vedette va dédicacer ses disques, photographies et programmes…
Photographie Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : séance de dédicaces par Tino Rossi après la Générale.
- cliché 1 : complètement à gauche, M. Roland Lacroux tinorossiste émérite du club et authentique Résistant.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- À la fin de la Générale du 9 novembre 1982, le public du show-biz, la famille Rossi et les fidèles tinorossistes prolongent la fête avec Tino Rossi toute la nuit en partant au Fouquet’s.
Ci-dessus, au centre du cliché : Pierrette Rossi (fille de Tino – 5 novembre 1927 – 5 décembre 2010) et son compagnon Marceau Ferrari (7 octobre 1922 – 16 octobre 1995), entourés par les fidèles tinorossistes venus au soir de la Générale, peu avant de quitter le Casino de Paris pour le Fouquet’s.
- cliché 1, de g-à-d : M. Claude Herbelot (tinorossiste), Mme Suzanne Guihuit (tinorossiste), M. René Guihuit (Président du Club Tino Rossi), Mme Josette Derouard (tinorossiste), Pierrette Rossi, Marceau Ferrari, Mme Jacqueline Brûlet (tinorossiste), M. Xavier Moreschi (Directeur de l’Annuaire Mondial des Corses).
- cliché 2, de g-à-d : M. René Guihuit (Président du Club Tino Rossi), Pierrette Rossi, Marceau Ferrari, Mme Jacqueline Brûlet (tinorossiste), M. Xavier Moreschi (Directeur de l’Annuaire Mondial des Corses).
Photographies X – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : arrivée de Tino Rossi.
- À l’arrivée devant le Fouquet’s, l’accueil est délirant, en présence de deux haies d’honneur par les grognards de la Garde Impériale qui saluent Tino à son passage, le tout en musique Empire…
Ci-dessus : Tino Rossi arrive devant la porte du Fouquet’s.
- Immédiatement derrière Tino : M. Roger Borniche, écrivain et inspecteur de police (E.R.)
Photographie Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : portrait de Tino Rossi au Fouquet’s
Photographie Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : un repas de grande gastronomie est donné, au menu mémorable que nous vous proposons de redécouvrir…
- Chaque plat porte le nom d’une chanson enregistrée par Tino Rossi.
- À noter que le premier titre Bonsoir Madame la Lune est resté inédit, tandis que Ce n’est qu’un rêve correspond en réalité à Ce n’est qu’un songe.
- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : au cours du repas, Tino Rossi salue patiemment l’ensemble des convives.
- Tino offre une tournée générale aux convives à la mémoire de Raimu, d’où son verre à la main sur la plupart de ces photographies. En effet, en 1982, Tino Rossi est alors le dernier survivant de la « Bande à Raimu » qui fréquentait assidûment le Fouquet’s.
- Pendant plus de quarante ans, Tino Rossi aura été un client assidu du Fouquet’s. Lorsqu’il était à Paris, il y prenait ses repas lorsqu’il était seul, organisait tous ses déjeuners et dîners d’affaires, et lorsqu’il voulait inviter des amis… Les soupers de toutes ses premières, les repas de galas de toutes ses opérettes se font au Fouquet’s…
Ci-dessus : Tino Rossi faisant le tour des tables du Fouquet’s au soir du 9 novembre 1982.
- clichés 1 et 2 : avec Mme Maritie Carpentier, co-productrice de la revue Cinquante ans d’amour et M. Jacques Chazot, danseur étoile émérite, écrivain…
- clichés 3 et 4 : en discussion avec M. Jean Méjean, Directeur Général du Casino de Paris.
- clichés 5 et 6 : saluant des admirateurs (à identifier), accompagné par M. Antoine Bonelli, le grand guitariste de Tino qui l’accompagne depuis 1949.
- clichés 7 et 8 : saluant Madame la productrice d’émission de télévision Jacqueline Duforest.
- cliché 9 : accolade avec M. Johnny Stark, le grand impresario ; à droite Mme Lilia Rossi.
- cliché 10 : saluant M. Claude Rogen, son pianiste depuis 1978 y compris au Casino de Paris.
- clichés 11 et 12 : saluant des admirateurs (à identifier), accompagné par M. Antoine Bonelli, le grand guitariste de Tino (à gauche).
- clichés 13 et 14 : en conversation avec M. Gérard Trimbach son Directeur Artistique EMI depuis 1972 (cliché 13, complètement à droite : Mme Évelyne Dhéliat, speakerine et présentatrice sur TF1).
- cliché 15 : salue une tablée d’admirateurs, serrant la main de Mme Jacqueline Huet (de dos, en tailleur blanc), speakerine et présentatrice sur TF1. Assise en face, Mme Martine Bogé, speakerine sur TF1. Debout, tenant un disque, Mme Simone Langlois, chanteuse. Assis, à la gauche de Mme Huet, l’Inspecteur de Police et écrivain Roger Borniche. À droite, debout, M. Antoine Bonelli, le grand guitariste de Tino.
- clichés 16 à 18 : dédicaçant le 33 tours spécial Fouquet’s à M. Bernard Haller, le célèbre humoriste suisse ; en présence de Mme Yvette Lebon, sa partenaire dans le film Marinella (1936), pour une dédicace.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : certains privilégiés étaient invités tous frais payés au festin par EMI – Pathé-Marconi…
- Ce carton d’invitation au Fouquet’s était adressé au journaliste Paul Giannoli, heureux invité au repas (coll. C. R-V.)
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- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : au cours de ce repas de fête prolongé, José Arthur interviewe en direct sur France Inter onze convives présents au Casino de Paris et livrent leur opinion enthousiaste et parfois émouvante sur Tino et le spectacle.
- La Responsable du service culture de France Inter – Sophie Dumoulin qui livre une analyse très-fine du phénomène Tino, le danseur étoile émérite Jacques Chazot, la chanteuse Line Renaud, la chanteuse Karen Cheryl, M. le Directeur du Casino de Paris – Jean Méjean, la chanteuse Nicoletta, la chanteuse Régine, le célèbre jockey Yves Saint-Martin, le célèbre historien Alain Decaux, le chanteur Francis Lemarque et Mme la Metteur en scène – Maritie Carpentier.
- Anecdote amusante : José Arthur, en discutant avec Maritie Carpentier, tente en fin d’interview un parallèle très osé sur la ressemblance entre M. Tino Rossi et M. François Mitterrand dès 1936 lorsque grimé en Casanova dans le film Marinella. Même si comparaison n’est pas raison, José Arthur forme un constat assez juste, car, dans les dernières années de la vie de Tino, il existe bien une certaine ressemblance entre les deux hommes, tant au niveau de l’aspect général de la silhouette, des mimiques, que dans l’expression orale…
- durée : env. 30′00″.
- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : arrivée des cuisines d’une énorme pièce montée entièrement inspirée de la grande carrière de Tino.
- Tino Rossi entouré de son épouse, de son fils Laurent et de sa fille Pierrette entonnent une série de chants de sa carrière, le tout avec les guitaristes corses menés par Antoine Bonelli.
Ci-dessus : arrivée de l’énorme pièce-montée… Tino Rossi entouré par son épouse Lilia et sa fille Pierrette Rossi.
- à gauche, Laurent Rossi tente une escalade festive de la pièce-montée !
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : devant l’énorme pièce-montée qui arrive des cuisines, Tino Rossi entouré de son fils Laurent, de son épouse Lilia et de sa fille Pierrette, pousse la chansonnette pour la nombreuse assistance…
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : devant l’énorme pièce-montée entièrement inspirée de la grande carrière de Tino.
- Tino Rossi rejoint et entouré par les stars féminines la chanson française et du spectacle du Tout-Paris.
Ci-dessus : devant l’énorme pièce-montée, Tino Rossi rejoint et entouré par les stars féminines de la chanson française et du spectacle du Tout-Paris.
- de g-à-d au premier plan : Yvette Lebon (robe bleue) ; Line Renaud (robe noire) ; Mireille Mathieu (robe blanche) ; Tino Rossi ; Dalida ; Marie-José Nat et Régine.
- au second plan, l’on reconnaît, vers la gauche, les guitaristes corses Antoine Bonelli et François Giordani, ainsi qu’Évelyne Dhéliat alors speakerine et présentatrice d’émissions sur TF1.
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : Tino Rossi conclut le repas en coupant l’énorme pièce-montée entièrement inspirée de sa grande carrière.
Ci-dessus : Tino Rossi commence la découpe de l’énorme pièce-montée inspirée de sa longue carrière, accompagné par les guitaristes corses Antoine Bonelli (guitare sèche) et François Giordani (guitare électrique).
Photographies Davy – 9 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : Tino Rossi salue les derniers irréductibles de la soirée avant de quitter les lieux.
Ci-dessus : Tino Rossi et Jacques Chazot se saluent en toute fin de soirée, puis Roland Gerbeau salue longuement Tino Rossi et son épouse Lilia avant le départ du Fouquet’s.
Photographies Davy – 10 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée du 9 novembre 1982 au Fouquet’s : fin des festivités à 5H00 du matin et départ de Tino Rossi.
Ci-dessus : Tino Rossi et son épouse Lilia quittent le Fouquet’s à 5H00 du matin, après cette mémorable soirée.
Photographie Sygma – 10 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino et Lilia Rossi regagnent leur domicile, à Neuilly-sur-Seine, avec leur automobile Peugeot 604.
Photographies Davy – 10 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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Chaque convive participant à la soirée du Fouquet’s recevait les cadeaux suivants :
- une bouteille d’Armagnac étiquetée Cinquante ans d’Amour – Tino Rossi.
- une bouteille d’Eau de Toilette « Bandit » de Robert Piguet.
- un 33 tours souvenir « Cinquante ans d’Amour – Fouquet’s – 9 novembre 82 » référence SP1204, pressé spécialement pour l’occasion par EMI.
Ci-dessus : 33 tours souvenir « Cinquante ans d’amour – Fouquet’s – 9 novembre 1982 » – SP1204 EMI (Coll. C. R-V.)
- Nota : il s’agit des mêmes enregistrements et des mêmes matrices que l’album commercialisé sous la référence 2C070 – 73358.
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Ci-dessus : billet type du spectacle. (coll. C. R-V.)
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Avertissement ! Tout ce qui concerne la soirée du 13 novembre 1982 fera l’objet d’une refonte complète à venir – ne pas en tenir compte – les inexactitudes seront supprimées et la situation normalisée dès que possible.
- Le Casino de Paris, le 13 novembre 1982, en soirée…
Ci-dessus : vue extérieure du Casino de Paris – Spectacle Tino rossi, le 13 novembre 1982. (coll. C. R-V.)
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Ci-dessus : affiche de la revue Cinquante ans d’amour, collée sur la façade du Casino de Paris.
Photographie Pichon – 13 novembre 1982 – Coll. A. Brochet
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- Ci-contre : Tino commence le spectacle en chantant sa nouvelle chanson « Corsica » (1982). (coll. C. R-V.)
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- Puis il poursuit avec le « Tableau Corse », accompagné d’Antoine Bonelli et ses guitaristes corses.
Ci-dessus : Tableau Tango. Tino Tango… On sent Tino heureux sur scène (coll. C. R-V.)
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- Le spectacle se poursuit avec le Tableau Cinéma, où Tino, en maître de cérémonie face au grand écran, évoque en direct sa carrière cinématographique, au rythme des bobines 35mm qui déroulèrent son succès dans tous les cinémas de France (et d’ailleurs !). (Coll. C. R-V.)
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- Puis, avec le Tableau Opérettes, la chanson reprend ses droits :
- Naples au baiser de feu,
- Le temps des guitares,
- Le marchand de soleil,
- et bien entendu, Méditerranée. Elles sont toutes passées en revue !
Ci-dessus et ci-contre : Tino dans Méditerranée, le 13 novembre 1982. On sent vraiment que l’Opérette, c’est aussi « son truc ». (coll. C. R-V.)
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- Et bien sûr, Tino enchaîne son Tour de Chant, où il interprète et réinterprète ses derniers succès et ses succès de toujours… Pour le public qui le suit partout…
- Cinquante ans d’amour (1982)
- Le Pinzutu (1962)
- Tout me rappelle vous (1982)
- La vie commence à 60 ans (1978)
- Tristesse de Chopin (1939)
- Ajaccio (1955)
- J’avais vingt ans (1963)
- Chantons l’amour (1974)
- La complainte corse (1943)
- Le rêve passe (1968)
- La Paloma, (1962)
- Ave Maria de Schubert (1938)
- Pot-pourri de Vincent Scotto (1936)
- Petit papa Noël (1946).
Ci-dessus : Tour de Chant du 13 novembre 1982. Tino Rossi est véritablement un lutteur. Un combattant de la chanson. Un forçat de la scène et qui force le respect. (coll. C. R-V.)
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Ci-dessus : Tino nous chante « J’avais vingt ans »… Une chanson qui, au crépuscule de sa vie, prenait alors tout son sens… mais, en Novembre 1982, nous ne le savions pas encore… (coll. C. R-V.)
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Ci-dessus : Final du Tour de Chant du 13 novembre 1982. Le public est comblé, Tino est heureux et ceci se voit ; et même les musiciens sont contents : carton plein pour Tino, comme d’habitude ! (coll. C. R-V.)
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- Fin du spectacle, retour en coulisses, dans la loge… Démaquillage… Retour à la banalité… Mais une Star, une Vedette de son ampleur, se doit aussi à ses admirateurs de toujours qui le suivent depuis plusieurs décennies… Tino est respecté car Tino est respectable. Il est un véritable professionnel. Tino se donne, Tino donne tout…
Ci-dessus : dans sa loge, avec ses admirateurs de toujours.
- À droite, M. Jean Pichon, grand admirateur depuis tant de décennies, qui recevait Tino chez lui et l’accompagnait partout en voiture lorsqu’il allait en cure thermale à la Roche-Posay, chaque année…
- À gauche, Mme Jacqueline Brûlet et M. Claude Herbelot, grands fans de Tino.
Photographie X – 13 novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Enfin, séance traditionnelle de dédicaces au Casino de Paris. Tino toujours stoïque et d’une patience infinie pour faire plaisir à tous ses admirateurs, jusqu’au dernier. Tino signe. Il signe pour tout le monde : anonymes, célébrités, riches, pauvres, jeunes, vieux, beautés, laiderons… Peu importe : avec Tino, c’est l’égalité de traitement.
Ci-dessus : séance de dédicaces au Casino, le 13 novembre 1982. (coll. C. R-V.)
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Ci-dessus : Tino Rossi dans les coulisses du Casino de Paris
- Tout au fond, Laurent Rossi.
Photographie Bazinet – 11 décembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée de Noël – 24 décembre 1982 : dans les coulisses du Casino de Paris, Tino Rossi et le Père Noël (M. Jean Martageix – le chauffeur personnel de Tino Rossi !) se saluent bien !
Ci-dessus : le Père Noël (M. Jean Martageix – chauffeur personnel de Tino Rossi) et Tino Rossi en coulisses.
Photographies X – 24 décembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée de Noël – 24 décembre 1982 : dans le grand hall du Casino de Paris, la traditionnelle séance de dédicaces.
Ci-dessus : les fanatiques veulent approcher Tino à l’occasion de la séance de dédicaces après la représentation.
- cliché à droite : M. Jean Martageix – chauffeur personnel de Tino Rossi (en Père Noël) et 3 membres du Club Tino Rossi : M. André Thibault, M. Marcel Peltier et Mme Thérèse Bruneau.
Photographies X – 24 décembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée de Noël – 24 décembre 1982 : un cocktail en fin de soirée avec l’équipe pour célébrer Noël 82, à la buvette du Casino de Paris.
Ci-dessus : à la buvette, les piliers du Casino de Paris trinquent avec Tino et Laurent Rossi !
- clichés 1 et 2 : M. Jean Martageix – chauffeur personnel de Tino Rossi (en Père Noël), Antoine Bonelli, X, X, Tino Rossi, X, et Laurent Rossi.
- cliché 3 : Antoine Bonelli, Denis – le Régisseur du Casino de Paris (qui a connu Tino à ses débuts dans Parade de France en 1934 ! ), Tino Rossi, une employée du Casino de Paris et Laurent Rossi.
- cliché 4 : M. Jean Méjean (Directeur Général du Casino de Paris), Laurent Rossi, une employée du Casino de Paris, M. Jean Martageix – chauffeur personnel de Tino Rossi (en Père Noël) et Roland Gerbeau (attaché de presse EMI).
Photographies X – 24 décembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Soirée de Noël – 24 décembre 1982 : fin de soirée, Tino Rossi quitte le Casino de Paris avec sa Peugeot 604, accompagné par les fans.
Ci-dessus : à la sortie du Casino de Paris avec les fans !
- cliché 1 : avec les tinorossistes André Thibault, Thérèse Bruneau, Marcel Peltier, le jeune Bruno Bazinet, M. Jean Martageix – chauffeur personnel de Tino Rossi (en Père Noël), Mme Simone Vernier (Trésorière du Club Tino Rossi).
- cliché 2 : Mme Simone Vernier, Maurice Bazinet, Thérèse Bruneau, Marcel Peltier, le jeune Bruno Bazinet, Mme Andrée Bazinet, X, Tino Rossi, X, M. Jean Martageix – chauffeur personnel de Tino Rossi (en Père Noël).
Photographies X – 24 décembre 1982 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : dernier spectacle, les aficionados sont (re)venus en masse voir Tino pour une dernière fois : le grand hall du Casino de Paris est noir de monde.
Ci-dessus : Grand Hall du Casino de Paris noir de monde, pour la Dernière.
Photographie Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : début de la revue, le 1er tableau – le Tableau Corse.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 1er tableau, le Tableau Corse.
- Tino accompagné par les guitaristes corses, dont : Antoine Bonelli, François Grimaldi et François Giordani interprète les chansons corses qui ont fait sa gloire.
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : entr’acte ballet tango réglé par Barry Collins, sur le motif d’Adios pampa mia.
- permet notamment à Tino Rossi de troquer son smoking noir pour son costume blanc.
Ci-dessus : entr’acte ballet tango entre les 1er et 2ème tableaux
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : le 2ème tableau – le Tableau Tango.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 2ème tableau, le Tableau Tango.
- Tino accompagné par les danseurs et danseuses sur une chorégraphie de Barry Collins.
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : entr’acte ballet sur le motif Méditerranée réglé par Barry Collins, avec les danseurs de claquettes.
- permet notamment à Tino Rossi de troquer sa veste rouge pour sa veste bleu roy ; son nœud papillon noir pour une cravate rayée ; ses souliers noirs pour des mocassins blancs et s’armer de sa célèbre casquette de marin.
Ci-dessus : entr’acte aux claquettes entre les 3ème et 4ème tableaux
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : le 4ème tableau – le Tableau Opérettes.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 4ème tableau, le Tableau Opérettes.
- Tino accompagné par les danseurs et danseuses sur une chorégraphie de Barry Collins.
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : le 5ème tableau – le Tour de Chant.
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le Tour de Chant.
- Tino seul sur scène, face à son public pour la dernière fois…
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : dernier spectacle, ultime final, Tino conclut avec Petit papa Noël, en présence de son chauffeur personnel – M. Jean Martageix qui a revêtu en cette occasion le costume du Père Noël. Le rideau du Casino de Paris va se refermer sur Tino pour la dernière fois. Émotion de Tino, émotion des danseurs, émotion du public…
- En cette occasion, pour cette ultime représentation, les confettis inondent la scène.
- C’est la dernière fois que Tino Rossi se produira sur scène…
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le 5ème tableau, le Tour de Chant.
- clichés 1 à 4 : Tino à la fin du Tour de Chant, interprète Petit papa Noël, en présence de Papa Noël (M. Jean Martageix – le chauffeur personnel de Tino) !
- clichés 5 à 7 : Applaudissements par toute la troupe du Casino de Paris.
- clichés 8 à 11 : Tino sous les confettis, remercie le public pour ses 50 ans de carrière !
- cliché 9 : le jeune Bruno Bazinet remet une gerbe de fleurs à Tino Rossi en cette ultime représentation.
Photographies Davy – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris dans le final du 5ème tableau, le Tour de Chant.
- clichés 1 & 2 : le jeune Bruno Bazinet remet une gerbe de fleurs à Tino Rossi en cette ultime représentation.
- clichés 3 à 5 : Tino remercie le public de sa présence et de sa fidélité.
- cliché 6 : ovation par les danseurs.
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Dernière du 2 janvier 1983 : ultime apparition de Tino Rossi sur une scène. Alors que le rideau du Casino de Paris s’est refermé pour la dernière fois sur la revue Cinquante ans d’amour, Tino le franchit à nouveau pour saluer une fois encore et pour l’ultime fois, le public…
- Dès le 4 janvier, fait inhabituel, il déclare à des amis : « je me sens fatigué… » Mais c’est déjà, hélas, le triste épilogue qui se profile…
Ci-dessus : Tino Rossi sur la scène du Casino de Paris franchit le rideau et adresse un ultime salut au public.
Photographies Davy – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : véritables confettis récupérés en fin de spectacle au Casino de Paris le 2 janvier 1983, par un pilier du Club Tino Rossi, lors de l’ultime représentation de la revue Cinquante ans d’amour (Coll. C. R-V.)
- Lorsque l’on sait la durée de vie d’un confetti, sitôt lancé, sitôt à terre, il est extraordinaire qu’il en soit parvenus jusques à nous…
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Ci-dessus : Tino Rossi recevant dans sa loge à la fin de la dernière représentation du Casino de Paris.
- cliché 1 : de gauche à droite : Laurent Rossi, François Grimaldi (guitariste corse), Paulette de « l’Ajaccienne », Antoine Bonelli, Roland Gerbeau (Directeur Artistique de Tino concernant les spectacles et la télévision), Tino Rossi et François Giordani (guitariste corse).
Photographies Mignucci – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Le 2 janvier 1983, à la buvette du Casino de Paris, où les spectateurs trinquent à la fin du spectacle.
Ci-dessus : buvette du Casino de Paris après la fin de l’ultime représentation.
- cliché 1 de g-àd : M. Henri Nectoux (Délégué général du Club Tino Rossi – un érudit véritable sur la vie de Tino) salue M. Antoine Bonelli et Mme Paulette « de l’Ajaccienne ».
- cliché 2 de g-à-d : M. Antoine Bonelli, X, Mme Thérèse Bruneau (tinorossiste), X.
Photographies Bazinet – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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- Le 2 janvier 1983, après l’ultime représentation de la revue Cinquante ans d’amour, Tino Rossi offre (sur ses deniers) un pot au champagne pour tout le personnel du Casino de Paris.
- Tino boit le verre de l’amitié avec tout le personnel du Casino de Paris.
- Tino dispense toujours des attentions au personnel d’exécution, gage du succès des représentations.
Ci-dessus : pot au Casino de Paris, au soir de la Dernière.
- clichés 1 à 3 : le personnel du Casino de Paris autour de Laurent Rossi.
- clichés 4 & 5 : Laurent Rossi accompagné du guitariste Antoine Bonelli.
- cliché 6 : Roland Gerbeau tend le verre de l’amitié.
- clichés 7 & 8 : Tino Rossi entouré du personnel du Casino de Paris ; derrière lui, le Directeur du Casino de Paris – Jean Méjean.
- cliché 9 : Tino Rossi entouré du personnel du Casino de Paris.
- cliché 10 : Laurent Rossi, X, Jean Méjean, Roland Gerbeau.
- cliché 11 : Laurent Rossi, X, Jean Méjean.
- cliché 12 : Jean Méjean, Tino Rossi, X.
- cliché 13 : Jean Méjean, Tino Rossi.
- cliché 14 : Xavier Moreschi, Jean Méjean, Paulette « de l’Ajaccienne », X, Denis (le concierge historique du Casino de Paris), Tino Rossi, Antoine Bonelli, X.
- cliché 15 : Xavier Moreschi, Tino Rossi, Jean Méjean, X, François Giordani (guitariste), Claude Rogen (pianiste de Tino).
- cliché 16 : Xavier Moreschi, Tino Rossi, X, François Giordani, Claude Rogen, Jean Méjean, Roland Gerbeau, Antoine Bonelli.
- cliché 17 : Tino Rossi, X, François Giordani, Claude Rogen, Jean Méjean, Roland Gerbeau.
- cliché 18 : Laurent Rossi entouré du personnel du Casino de Paris.
Photographies Mignucci – 2 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : article qui fait le bilan des deux mois de la revue Cinquante ans d’amour au Casino de Paris.
Nice-Matin – 18 janvier 1983 – Coll. C. R-V.
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Ci-dessus : Tino Rossi au Casino de Paris lors d’une séance de dédicaces après le spectacle.
Photographie X – Novembre 1982 – Coll. C. R-V.
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